Une exposition de Charlotte Cuny
Un « theatrum mundi », peindre sur des rideaux comme des « écrans » entre le monde extérieur et intérieur. Ils reflètent les interrogations du Charlotte sur la relation de l’humain à la mémoire, à la nature et au digital ici utilisé dans son processus de peinture.
Ils, s’entremêlent et se replient, cachent et montrent, dans la continuité de la peinture elle-même. Ils évoquent la frontière – ce qui aveugle, divise, les humains entre eux, l’humain avec la nature mais aussi ce qui protège, abrite voire purifie et lie comme un « médium du dévoilement ».
Charlotte Cuny peint ses souvenirs à partir de ses propres photos grâce auxquelles elle exprime ses émotions, ses perceptions et ses sensations, entre déconstruction et figuration abstraite. Récemment, à travers des collages apparaît une dimension plus rêvée car les rêves sont « les plus anciens souvenirs ». Elle étend sa pratique à d’autres médiums tels que la gravure ou la création de ‘combines’. Elle interroge ainsi la place de l’humain entre la nature, le digital et la peinture ce qui est une part inhérente de ses projets à venir.
En 2023, Charlotte Cuny aura plusieurs expositions personnelles à Londres, Barcelone, et participera à une exposition à la galerie Orbis Pictus à Paris. Elle a participé à des expositions collectives, notamment à la Saatchi Gallery, à Bozar (Bruxelles) ou au BAM (Musée des Beaux-Arts de Mons, BE). Elle a obtenu un Master d’Arts Plastiques à Central Saint Martins et de peinture à Arts² à Mons en Belgique. Charlotte est actuellement résidente au LED à Thionville jusqu’en 2024.
Instagram : @cunycharlotte / site internet : www.charlottecuny.com
Ein « theatrum mundi », das Malen auf Vorhängen als « Leinwände » zwischen der Außen- und Innenwelt. Sie spiegeln Charlottes Fragen über die Beziehung des Menschen zur Erinnerung, zur Natur und zu den digitalen Medien wider, die hier in ihrem Malprozess verwendet werden.
Sie, verflechten sich und falten sich zusammen, verbergen und zeigen, als Kontinuität der Malerei selbst. Sie erinnern an die Grenze – das, was blind macht, trennt, die Menschen untereinander, den Menschen mit der Natur, aber auch das, was schützt, beherbergt oder sogar reinigt und als « Medium der Enthüllung » verbindet.
Charlotte Cuny malt ihre Erinnerungen anhand ihrer eigenen Fotos, mit denen sie ihre Emotionen, Wahrnehmungen und Empfindungen zwischen Dekonstruktion und abstrakter Figuration ausdrückt. In jüngster Zeit taucht durch Collagen eine eher verträumte Dimension auf, denn Träume sind « die ältesten Erinnerungen ». Sie erweitert ihre Praxis auf andere Medien wie die Gravur oder die Schaffung von ‘combines’. So hinterfragt sie den Platz des Menschen zwischen Natur, Digitaltechnik und Malerei, was ein inhärenter Teil ihrer zukünftigen Projekte ist.
Im Jahr 2023 wird Charlotte Cuny mehrere Einzelausstellungen in London und Barcelona haben und an einer Ausstellung in der Galerie Orbis Pictus in Paris teilnehmen. Sie hat an Gruppenausstellungen teilgenommen, u. a. in der Saatchi Gallery, im Bozar (Brüssel) oder im BAM (Musée des Beaux-Arts de Mons, BE). Sie hat einen Master in Bildender Kunst am Central Saint Martins und in Malerei am Arts² in Mons, Belgien, erworben. Charlotte hat derzeit bis 2024 ihren Wohnsitz im LED in Thionville.
Instagram: @cunycharlotte / internetseite: www.charlottecuny.com